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  • Righteous Kill

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  • Quisque sed felis

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  • Etiam augue pede, molestie eget.

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  • Hellgate is back

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Archive for 2007

« Ce n’est pas parce que l’on ne peut pas tout faire qu’il ne faut rien faire. »

La santé durable (c’est-à-dire notre santé maintenant et dans le futur ainsi que la santé des générations à venir) est non seulement menacée par un mode de vie qui ne respecte plus notre physiologie mais aussi par un environnement qui se dégrade et génère des pollutions toxiques.

Chaque action destinée à rétablir l’harmonie entre l’homme, sa santé et son environnement doit être encouragée. Il n’y a pas de petite action et seule leur multiplication permettra d’améliorer durablement la santé des hommes.

Le but de cette modeste chronique de quelques articles sur le Cameroun accompagnée de témoignages est d’inciter toutes celles et tous ceux qui ne l’ont pas encore fait, à réfléchir et à agir en faveur du développement et de la santé durable.

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Qui se souvient du bain de minuit au 17 rue du Four à la Chapelle-Saint-Mesmin en 75, des boums à la salle des Carmes d’Orléans, des RDV au cinoche Le Martroi où nous allions voir des films interdits aux moins de 18 ans (alors que nous n’en avions à peine 15), des concerts organisés par Aspekt à la salle du Campo Santo*, des soirées chez Lélèze place du Châtelet ou à Saint-Denis-en-Val ?
Qui se souvient des balades en mob ou en moto le long de la Loire jusqu’à Fourneaux-Plage, des boums chez Goustrouille rue Xaintrailles, de la traversée nocturne à l’intérieur du pont de l’autoroute A 10, des fêtes de Jeanne d’Arc avec les bagarres contre les Weigel, de la contre-fête de Jeanne d’Arc de Saran (et de son Mille-club), de la virée en Suède pour Nyköping et de la soirée pourrie du nouvel an à Stockholm ?
Qui se souvient du Colombia devenu le Cactus, du Gambetta faubourg Saint-Jean où trainait une faune de musicos, de babas et d’interdits de séjour ? De la fête chez les Meunier à Donnery, du Night and Gay de la rue d’Illiers, du fameux Club des Berges dans un moulin avec des sacs de farine en guise de fauteuils (ce club était presque virtuel voire clandestin pour l’époque), du Festival des jeunes talents et du guitariste Pascal Rivière ?
Qui se souvient de la vieille épave d’auto militaire américaine amphibie qui traînait dans les ronces non loin du 007 Club à Saint Ay, du Moulin de Saint Ay racheté par Johnny Hallyday, de la Houlette à Tivernon, du Georges V, du Relais de Montaigu caché dans les bois, du Café la Rotonde rue de la Rép où le père de Jean-Loup (dit Babar) était chemisier ?
Qui se souvient des Stocks américains au fond de la rue de Bourgogne, du Rio et de l’ABC qui projetaient des films glauques ou pornos, du Royal avec son décor de chalets, de Jean Malard opticien, des pressings Chic Choc de Jean Autran, de Biron magasin de chaussure de la rue Royale, de Cupidon le premier sex shop d’Orléans rue de Bourgogne (ah ! cette fameuse rue quelle réputation) ?
Qui se souvient de Kinzing qui vendait des télés, des radios et de la musique rue Jeanne d'Arc et du disquaire Radio Tabour situé dans la rue éponyme, de la clinique de la présentation rue de la Rép avec son mini kiosque de vente de billets de la loterie nationale des gueules cassées ?
Qui se souvient des bars américains (appelés aussi bars à entraineuses ou à bouchons pour les niaiseux), il y en avait partout (Le Mexicain, Le Vesuvio, Le Black Horse, Le Saloon, Le Robin des Bois, La Solognote, Les Septs Dormants…) ?
Qui se souvient de la librairie alternative La Capotière rue des Carmes, du photographe Daniel Guy dans la même rue, de la Japonaise (le magazin de farces et attrapes) de la rue Louis Roguet (il y en avait d’ailleurs un autre qui faisait aussi pompes funèbres rue Royale), de Taffoureau qui vendait des Malagutti et des Gitanes Testi (le must du cyclomoteur de l’époque) ?
Qui se souvient du bar Le Capricorne au Novotel d'Orléans-la-Source et de l'épicerie Fourniguet place du Châtelet ?
Qui se souvient du Lotus d’Or (restaurant vietnamien) rue des Anglaises, du restaurant couscous Sidi Bou Said rue de Bourgogne (encore elle), du magasin de fringues Far West des Barbanchon et de l’animalerie dans la rue Royale, du Mickey Bar et de la fête du parc du Poutyl à Olivet ?
Mon ami François Miné m’a apporté, il y a quelques temps déjà, un DVD avec certaines photos de notre adolescence qu’il possédait. C’est un montage de veilles photos d’abord réalisé en vidéo analogique puis numérisé. Ce sont les photos de nos activités qui sont essentiellement des fêtes – pendant nos années lycée (1975 à 1978) à Orléans. Nous croyons reconnaître sur ce document Serge Alezier, Denis Thomas, Jean-Michel Hacquin, Pascal Cagnon, Christian Parnaud, Frédéric Goustour, Pascal Adam, Jacky Horn, Pierre Campos, Pascal Meunier, Thierry Fourniguet, Jean-Philippe Choquin, Patrice Sintès, Harold Merle, Jean-Marie Brinon, Franck Demaison…ainsi que des copines et bien entendu François et moi.
Je le mets en ligne, ça nous rappellera d’émouvants souvenirs. Que cela nous incite à poursuivre l’œuvre de François en ressortant les vieilles photos et en ravivant les souvenirs anciens.




* Le premier concert organisé par Aspekt auquel j’ai assisté avec Pascal Cagnon, c’était Magma le 21 février 1974. Ils étaient arrivés avec 2 heures de retard car ils venaient d’Angleterre où il y avait un presque couvre-feu à cause de la crise pétrolière. À la fin nous avions discuté avec Christian Wander, Klaus Blasquiz, Jannick Top, qui étaient très impressionnés par l’horreur de la situation britannique. Je me rappelle même avoir acheté, ce même soir, un fanzine qui s’appelait Hypnose.

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Je me souviens du quartier de l’Odéon des années soixante-dix. Sur le boulevard Saint Germain, devant les terrasses des cafés, il y avait un vieux fou qui effrayait les femmes.

Il dissimulait un gros rat en caoutchouc gris derrière le revers de son imperméable mastic. Dès qu’une femme seule ou accompagnée le croisait, il émettait un grognement puissant en exhibant le rat sous le nez de cette dernière. Généralement la femme hurlait, parfois elle faisait demi tour ou se sauvait en gesticulant. Les consommateurs assis en terrasse se marraient. Il faisait ça toute la journée.

Plusieurs fois il a bien failli se faire casser la figure par les compagnons des dames qu’il importunait. Il se faisait souvent traiter de vieux satyre ou d’obsédé lubrique. Il ne parlait avec personne et son seul plaisir était d’effrayer les femmes de tous âges.

Je me suis toujours demandé si Gotlib ne s’est pas inspiré de lui pour créer son personnage pervers pépère. Pour vous faire une idée plus précise de l’apparence du satyre de Saint Germain, vous pouvez aussi vous référer au professeur Tuyodanlanus, personnage inventé par Philippe Bensaïd pour La Gouazette médicale (journal édité par les étudiants de la faculté de médecine de Tours dont je vous parlerai plus longuement un jour).


Quoi qu’il en soit, je ne l’ai jamais vu exhiber que son rat.

Certains parmi vous se souviennent-ils de lui ?

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Parmi les évènements que je ne pensais jamais voir survenir de mon vivant je recense la disparition du mur de Berlin, l’accession de la gauche au pouvoir en France ainsi que l’élucidation des circonstances de la mort de Jim Morrison.


Au contraire d’un Elvis Presley ressuscité que d'aucuns (ils sont assez nombreux) ont cru reconnaître aux quatre coins de la planète, Jim Morrison est un peu moins coutumier de ces retours sur scène. Ne l’ayant pas connu de son vivant il n’aurait donc jamais dû croiser ma route. Il le fera pourtant plusieurs fois.
(Pourtant – c’est une note de mon ami Alain Gaschet dit Gonzo - parmi les rumeurs qui circulèrent certains ont, là aussi, affirmé que Jim Morrison était vivant, qu’il avait lui-même organisé une fausse mort pour disparaître « quelque part »…)

En aout 1986, je profitais d’une convalescence forcée (séquelle d’une importante opération chirurgicale de la cheville) pour réviser mes partiels de septembre près d’Orléans. Un soir, vers minuit, alors qu’abruti par les révisions et les lacs de cafés engloutis, je décidais de sortir prendre un peu d’air frais sur la place de l’Église. Stupéfait j’observais les neuf marronniers centenaires de la place , les portes de l’église, la croix du Christ étaient recouverts de placards photocopiés portant l’inscription manuscrite « Wanted Jim Morrison » avec la photo du chanteur. Deux silhouettes furtives s’acharnaient à en fixer encore sur les bancs publics.
J’interpellais les idolâtres exaltés avec qui j’allais passer la nuit à boire des bières et à refaire le monde. Il est vrai que cette petite place qui jouxte la Loire, qui a successivement vu passer le dragon de Saint-Mesmin, Jeanne d’Arc et Gaston Couté, sert de halte à des marcheux de toute sorte. Voyous ou pèlerins Dieu reconnaîtra les siens. Depuis cette nuit étrange, en pensant à cette chapelle et à son clocher, je me dis que parfois sans doute Jim mort y sonne (ça c’est pour Sam qui apprécie les calembours déglingués).

Le 30 novembre 1993 je rencontre Barbara. Cette jeune fille a été contaminée par le virus du sida deux ans auparavant (On n’est pas sérieux quand on a 17 ans, éditions Robert Laffont) par un garçon plus âgé qui l’a séduite en lui écrivant de fantastiques poèmes. Ces fameux poèmes n’étaient que la recopie de la traduction française de l’œuvre Jim Morrisson. Jim maure est sonné (comprenne qui pourra).

Pendant les folles années de mon adolescence (1973-1974) j’écoutais RTL et le Super Club de Sam Bernett. Je ne savais pas que je le rencontrerai trente années plus tard au Bar de la Marine. Je ne savais pas non plus que ça me plongerait en plein flash back. Nous sommes en 1971 et mon père a acheté un appartement au 43 rue Mazarine près d’Odéon. Notre entrée est juste à côté d’une pâtisserie tunisienne et presque en face du fameux Alcazar. L’Alcazar devient rapidement la « cantine » nocturne de mon père lors de ses séjours parisien. Il circule à Saint Germain des Près et dans le Quartier Latin un vent de folie et de liberté. Je ne connaîtrai pas le Rock’n Roll Circus, situé sous l’Alcazar et animé par Sam Bernett et ses amis. À l’époque je n’ai que douze ans et j’enrage de ne pas en avoir seize ou vingt.

The End, ne m’a pas seulement fait partager l’ambiance du quartier ou révéler les circonstances du décès de Jim Morrison. Il a aussi réveillé en moi d’étranges sensations. Notamment celle d’avoir été floué à cause de mon jeune âge, de ne pas avoir participé pleinement à cette révolution.
Bon je termine là, Jim va s’impatienter…

*
The End, les derniers jours de Jim Morrison - Éditions privé
Cet ouvrage de Sam Bernett est à conseiller à celles et ceux qui veulent compléter la biographie du leader des Doors et revivre la transition sixties-seventies (plaisirs & dangers) ainsi qu’à celles et ceux qui ne l’ont pas connue et qui veulent comprendre.



Et puis un excellent site pour se souvenir du Paris branché des années soixante-dix



Sam Bernett by night

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